Confucius

Se vaincre soi-même, rendre à son coeur l’honnêteté qu’il tenait de la nature, voilà la vertu parfaite… Il dépend de chacun d’être parfaitement vertueux.
On trouve des disciples de la sagesse qui ne sont pas parfaits – on n’a jamais vu un homme sans principes qui fût parfait.
Quand on ne sait pas ce qu’est la vie, comment pourrait-on connaître la mort?
Quand l’oiseau est prés de mourir, son chant devient triste – quand l’homme est prés de mourir, ses paroles portent l’empreinte de la vertu.
Oublie les injures, n’oublie jamais les bienfaits.
Le silence est un ami qui ne trahit jamais.
On ne doit jamais penser à la distance, quelle qu’elle soit, qui nous sépare de la vertu.
L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments.
L’homme honorable commence par appliquer ce qu’il veut enseigner – ensuite il enseigne.
L’expérience est une lanterne que l’on a accrochée dans le dos et qui n’éclaire que le chemin parcouru